almost-easy

L'archange du mal à l'état pur.

Samedi 20 novembre 2010 à 14:02

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 - Presque 10 mois. 10 mois d'absence. La façon que tu avais de me regarder est sûrement la plus belle chose. Ce jour ou tu m'as prise dans tes bras, si j'aurais su que deux jours après tu partais je t'aurais serrer si fort... Ce jour là, je te regarderais dans les yeux pour te montrer à quel point je t'aime, et que je m'en veux.


  - C'est une fois que les personnes ne sont plus autant présente que l'on se rend compte a quel point elles étaient importantes. C'est partie de rien et c'est devenu tout, ou presque. Son odeur, son regard, sa voix me manquent. Ses câlins aussi. Si je continuent à avancer la tête haute c'est pour lui. Seulement pour lui. Il est toujours là pour me protéger de tout. Quoi qu'il arrive.  Pendant le déroulement de ta vie tu rencontres trois sortes de personnes. Celles qui veulent t'empêcher d'avancer, celles qui partagent de merveilleux moments, et  les personnes qui te relèvent et te poussent en avant.


  - Quoi qu'il arrive. Parce que l'on rencontre des gens par hasard, mais que l'on oubliera jamais. A la base, c'était juste par une adresse msn mal réécrite et je suis tombé sur toi. Je ne regrette rien. Pas du tout. Au contraire. A présent, sans toi, je ressens un sérieux manque. Un manque trop prononcer même. Je m'excuse encore pour mes sautes d'humeur et tout le reste. Je sais très bien que je ne suis pas "facile à vivre". Pourtant ces conversations avec toi qui ne partent de rien, t'avoir au téléphone - entendre ta voix, j'en ai besoin. Le fait de te parler me redonne le sourire. Je m'excuse de tout, pour tout. Pourtant j'aimerais tant t'avoir à mes côtés, te faire chier tout les jours jusqu'à ce que tu en ai marre de moi. Jusqu'au bout. Quoi qu'il arrive. Quoi qu'il advienne. Je ne te lâcherais pas, saches le. Et surtout, je t'aime.

Samedi 20 novembre 2010 à 13:59

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J'avais réussis. Réussis à ne plus aimer. Réussis à ne plus avoir besoin de quelqu'un ; de lui surtout. J'avais réussis à faire une croix sur tout. Une croix sur lui. Une croix sur nous. Tout redevenais comme avant. Renfermée sur moi même, observant ces larmes coulant le long de mes joues chaque soir, ne plus dormir, ne plus manger, ne plus sourire. Ce sourire souvenez vous-en, ce ne sera plus jamais le même. Puis un jour, j'ai osé. Tout est devenu vague, flou. Je perdis pied - ou m'enfonça encore plus. Tout allait si vite. Je ne contrôlais plus rien. Alors je me laissa aller. Avec le temps, tout empira. Je ne comprenais pas. Ou plus. Seule, sur mon lit, j'essayais pourtant. Puis, un autre s'empara de mes larmes. De ma douleur. Essayant de me faire rire à longueur de journée pour que je puisse retrouver ce sourire ; celui qui -sois disant- était tant aimé. C'est le genre de personne qu'au moment où il vous prends dans ses bras, votre monde bascule. A ce moment là, vous êtes protéger de tout. C'est fou à quel point une personne à elle toute seule peut bouleverser une vie.

Samedi 20 novembre 2010 à 13:56

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"Un ange, le mien. Il suffit seulement de l'avoir en face de moi pour que ma tête se vide. Un moment à ses côtés pour tout oublier, des mots pour tout cicatriser et sa voix pour me calmer. Revoir cette personne sourire, l'entendre rire.. cela faisait si longtemps. "Tu es ma plus belle poésie, ton rire, ma plus belle mélodie, tes fou rire mes plus belles symphonies" (Soprano, Inaya). En repensant à ce moment les larmes coulaient. Sûrement de joie. J'avais si peur que cette personne m'oublie avec le temps. Pourtant j'avais tord. J'aurais été capable de tout pour elle. Je lui dois tout. Ou presque. Quand je lâche prise, elle seule sait comment me rattraper et me faire avancer. J'y arriverais coûte que coûte, mais jamais sans elle. C'est la seule personne pour qui je veux avancer. Si elle m'abandonne où que j'aille je serai sur un champs de bataille. "Cette main qui était dans la mienne sans que je ne me sois rendu compte de rien, en réalité j'aurais aimé la serrer pour toujours."

Je nous hais. Tout n'était qu'illusion. Pourtant c'était plus simple quand on était là.

Samedi 20 novembre 2010 à 13:43

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Apparemment, il ne faut vivre pour les autres mais pour soi-même. Trouver un but, une raison de vivre. Pourtant cela reste tout de même éphémère, alors à quoi bon. Certes c'est une raison de sourire, de trouver le courage de se lever, une occasion de pouvoir sentir son coeur (re)battre la chamade. Perso, dans mes yeux on a jamais réussis à y lire de la joie, de l'apaisement. Seule la haine me donne la force d'avancer. Mais quoi qu'il arrive je ne baisserai jamais les bras. Même si ça fait mal. Ainsi, pour ceux qui m'entoure je suis prête à tout pour les revoir sourire. Prête à risquer le peu qu'il me reste pour les revoir sourire malgré mon coeur sec, mes yeux gonflés, et mes joues noyées par les larmes.

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