- Presque 10 mois. 10 mois d'absence. La façon que tu avais de me regarder est sûrement la plus belle chose. Ce jour ou tu m'as prise dans tes bras, si j'aurais su que deux jours après tu partais je t'aurais serrer si fort... Ce jour là, je te regarderais dans les yeux pour te montrer à quel point je t'aime, et que je m'en veux.
- C'est une fois que les personnes ne sont plus autant présente que l'on se rend compte a quel point elles étaient importantes. C'est partie de rien et c'est devenu tout, ou presque. Son odeur, son regard, sa voix me manquent. Ses câlins aussi. Si je continuent à avancer la tête haute c'est pour lui. Seulement pour lui. Il est toujours là pour me protéger de tout. Quoi qu'il arrive. Pendant le déroulement de ta vie tu rencontres trois sortes de personnes. Celles qui veulent t'empêcher d'avancer, celles qui partagent de merveilleux moments, et les personnes qui te relèvent et te poussent en avant.
- Quoi qu'il arrive. Parce que l'on rencontre des gens par hasard, mais que l'on oubliera jamais. A la base, c'était juste par une adresse msn mal réécrite et je suis tombé sur toi. Je ne regrette rien. Pas du tout. Au contraire. A présent, sans toi, je ressens un sérieux manque. Un manque trop prononcer même. Je m'excuse encore pour mes sautes d'humeur et tout le reste. Je sais très bien que je ne suis pas "facile à vivre". Pourtant ces conversations avec toi qui ne partent de rien, t'avoir au téléphone - entendre ta voix, j'en ai besoin. Le fait de te parler me redonne le sourire. Je m'excuse de tout, pour tout. Pourtant j'aimerais tant t'avoir à mes côtés, te faire chier tout les jours jusqu'à ce que tu en ai marre de moi. Jusqu'au bout. Quoi qu'il arrive. Quoi qu'il advienne. Je ne te lâcherais pas, saches le. Et surtout, je t'aime.